Le contrôle antidopage au galop – Rappel de quelques articles du code des courses pour éviter les pièges et infractions.

Depuis plus de deux ans les affaires de dopages se succèdent à un rythme régulier et n’impliquent pas seulement des entraineurs mais également des pharmaciens et des vétérinaires (français ou étrangers)

De nombreuses infractions (par méconnaissance voire totale ignorance) au code des courses et au code de la santé publique ont ainsi été révélées au grand jour et qualifiées à tort ou à raison de dopage. En France, la médication des chevaux est très strictement contrôlée en courses, à l’entrainement, lors de périodes de repos et à l’élevage. C’est un élément essentiel pour assurer une saine

compétition et l’égalité des chances des concurrents, mais également pour préserver la santé et la sécurité du cheval de sa naissance jusqu’à la fin de sa carrière de course.

En effet un cheval doit être en bonne santé pour prendre part à une course : l’absence de médicaments ou d’autres substances dans le corps du cheval au moment de la course constitue un critère objectif de cette bonne santé.

C’est pourquoi afin d’éviter de commettre des infractions à l’insu ou de plein gré, certains articles du code des courses au galop sont passés en revue dans cette présentation.

Références :

• Code des Courses au Galop au 1^er septembre 2022
• Code de la santé publique : https://www.codes-et-lois.fr/code-de-la-sante-publique/toc-produits-sante- produits-pharmaceutiques-medicaments-veterin-500af35
• Code de déontologie vétérinaire : https://www.legifrance.gouv.fr/codes/id/LEGISCTA000006168195/

https://www.veterinaire.fr/la-profession-veterinaire/la-reglementation-professionnelle/code-de-deontologie